Bonsoir à toutes et à tous !
Voici les dernières nouvelles :
Enjeux d’amour, de Yo et Gaël
Comme je l’ai annoncé sur notre page Facebook le 14 mars, j’ai reçu ce livre, que Franck Spengler – le fondateur des Editions blanches – m’avait conseillé. Il m’en avait parlé parce qu’il s’agit d’un récit autobiographique à deux voix, et que cela résonnait avec ce que je lui avais dit de notre histoire.J’ai reçu l’édition originale, dépourvue d’illustration. La version au corset était plus sexy, mais compte tenu du travail que j’ai, je n’avais pas besoin d’être déconcentré par un livre posé sur mon bureau, qui m’aurait fait de l’oeil pendant des semaines !
Rose et moi l’avons lu. Il s’agit d’un récit d’amour avant tout, mais le récit de certaines pratiques – aiguilles et zoophilie notamment – pourrait rebuter les plus sensibles. Personnellement, j’ai trouvé ce livre sympathique et original, mais je vous en dirai plus dans l’article que je n’ai pas encore écrit. Je préfère prendre le temps de la réflexion.
Avancement d’écriture
J’ai presque terminé le deuxième tome de mon roman de science fiction. J’achoppe un peu car les derniers chapitres sont intimement liés au troisième et dernier tome, dont le scénario n’est pas encore abouti.
J’ai très hâte de vous faire lire cette histoire, même s’il y a des chances pour que je ne m’occupe de sa publication qu’à partir de 2024. C’est surtout ce livre que je désirais écrire quand j’ai commencé en 2007, et les retours des bêta lecteurs sur le premier tome sont très encourageants.
Livre audio
L’enregistrement du premier tome de Ma soumise, mon amour avance bien. J’en suis environ au trois quart. C’est un travail énorme, qui me prend un peu plus d’une heure par page A4, or il y en a quasiment 200.
J’ai hâte de finir pour chercher activement un moyen de le publier. La couverture verte de Enjeux d’amour est celle de la version audio. Cela m’incite à en parler avec Franck Spengler, qui pourra peut-être m’aider. J’ai bon espoir de le rencontrer à Paris au cours du mois d’avril.
Mon rythme de travail
Je savais déjà que les réseaux sociaux sont un endroit ou certains lecteurs aiment découvrir les coulisse, mais entre le savoir et s’en apercevoir en pratique, c’est un peu différent. M’épancher sur les détails n’est pas vraiment dans ma nature. Cela dit, en m’efforçant de capter l’attention sur Facebook, je me suis aperçu qu’en effet, certaines publications font plus réagir que d’autres, et c’est très plaisant de pouvoir échanger.
Voici de quoi répondre à ceux qui ont déjà dit à Rose qu’elle passait son temps à travailler.
C’est vrai que c’est le cas, et c’est pire pour moi, qui suis passionné par l’écriture et par cette aventure qu’est l’auto-édition.
Cela fait environ un an que je travaille du lever au coucher, conscient que 70 000 nouveaux livres sortent tous les ans, et que pour sortir du lot, il faut retrousser ses manches.
En dehors du temps que je consacre aux enfants, je passe l’essentiel de mon temps à mon bureau. Dans la journée, j’écris des articles, je publie sur les réseaux, commente et like. J’avoue que c’est très addictif, en particulier quand je vois que ça marche, et qu’il y a des retours encourageants. Ensuite je produis des images et j’adapte les illustrations sur Gimp, je cherche des musiques, monte les enregistrements de la veille, et je m’occupe du montage des vidéos. J’optimise aussi le site internet, qui est maintenant plus accessible, car cela a pris du temps pour qu’il soit adapté aux smartphones. Quand j’ai terminé tout ça, je gère aussi Pinterest, que je commence à fournir en illustrations, ainsi que Youtube.
Le soir, après le repas, je passe une à deux heures à enregistrer le livre audio ou les podcasts. Puis, à partir de 22 heures, je me consacre enfin à l’écriture, au moins jusqu’à minuit.
C’est un investissement personnel important, mais nous sommes passionnés !
La promotion
« Ma soumise, mon amour » a été mis en ligne début septembre, et depuis, j’ai eu pas mal de travail pour créer les premiers outils qui nous servent pour faire connaître nos romans. Du coup, entre septembre 2022 et fin janvier 2023, nous n’avons fait aucune publicité. Nous venons donc de commencer, et sortir de l’anonymat pour faire connaître un livre, c’est difficile pour plein de raisons :
– D’abord parce qu’un livre, visuellement, c’est un tas de lettres. Esthétiquement, c’est pas ce qu’il y a de plus sexy. Surtout avec les médias actuels qui donnent la part belle aux images et à la vidéo. C’est donc un premier challenge.
– Deuxième difficulté, une histoire d’amour BDSM, c’est un thème qui reste confidentiel.
– Le troisième problème, paradoxalement, c’est Cinquante nuance de Grey. On aurait pu croire que ce ras-de marée littéraire aurait démocratisé le BDSM, nous offrant de cette façon un public plus large, mais il n’en est rien. Je l’ai lu récemment, et j’en ai d’ailleurs fait un article, qui paraîtra au début de l’été. Ce conte de fée moderne, très édulcoré par l’image marketing qui a permis de faire exploser ses ventes, provoque beaucoup d’agacement auprès des pratiquants. Ce qui fait que nous sommes souvent obligés, Rose et moi, d’expliquer que notre histoire n’a rien à voir avec le livre d’E.L. James, et que nous savons bien de quoi nous parlons.
– Quatrième difficulté, nous sommes en effet astreints à une certaines discrétion, de part la nature de notre activité en faveur de la protection de l’enfance. Et cela vient contrarier nos efforts pour faire connaitre notre belle histoire au plus grand nombre.
Cela dit, après deux mois de communication, j’ai la sensation que les choses vont dans le bon sens. Nous avons fait le pari que le livre plairait aux premiers lecteurs, qui pourraient ensuite provoquer un bouche à oreille positif. Et je commence à croire que ça va le faire.
Je tiens à remercier tout particulièrement une de nos premières lectrices, pour son aide et son enthousiasme, ainsi que son Maître. Je remercie aussi – sans le nommer, il se reconnaîtra – le bêta lecteur du premier tome de Rose, pour son aide.
Rose et moi remercions également Laurent Marc pour ses conseils au sujet de notre site internet. Ils étaient souvent désagréables à entendre, mais très précieux. Il fait partie de ces rares personnes qui prennent le temps de nous dire ce qui ne va pas, ce qui nous permet de nous améliorer.
Merci également à Marquis Sade pour son partage d’expérience auprès de Rose.
Merci encore aux personnes qui nous permettent de communiquer au sein de leurs groupes. Je pense à quelqu’un en particulier, que je ne nomme pas car je n’ai pas eu le temps de lui demander son autorisation pour cela. Je le ferai dans les commentaires si elle y consent.
Merci enfin à ceux qui nous critiquent. Ils nous offrent l’opportunité de discuter, d’échanger, d’évoluer, et de prendre en compte leur avis, ce qui est toujours utile pour progresser.
Je salue tous ceux qui nous suivent déjà sur Facebook, ainsi que les premiers abonnés de la chaîne Youtube. Ils sont deux ! Hip hip hip ! 🙂
L’aventure ne fait que commencer !
Je vous souhaite une excellente fin de journée.
Steve